L'auteur L'article Rappel de quelques notions sur lesquelles l'auteur et son équipe ont déjà travaillé. - l'étude des mailles à travers leurs intersections (1719 paires) avec une première interprétation d'un exemple, la ligne Groningue -> Séville avec les coupes «géodémographiques» qui permettent de rendre compte de certaines ruptures le long de cette ligne selon les classes d'age. - introdcution d'un indice de dissimilarité, qui permet de mettre en évidence les frontières de mailles où apparaît une discontinuité, et le problème du seuil (propre à cet indice) qui permet d'avancer la ressemblance ou dissemblance de deux mailles contigües. Méthode de calcul du seuil : il fait la somme des différence sur l'ensemble des tranches d'age; il le fait pour toutes les mailles puis que sur les contigües puis en extrait par des rapports à la moyenne et écart type une classification des dissemblances; il note une certaine organisation spatiale (auto cor. spatiale) => il va choisir un seuil dont il reconnait que ça peut-être. - Les représentations cartographiques des dissimilarités ou ressemblances avec les méthode spaghetti et Hagood. Enfin une conclusion interessante qui rappel dans ce cas (et je dirais dans presque tous les cas) les problèmes que l'on ne maîtrise pas et que l'on ne doit pas oublier lorsqu'on est à la recherche de discontinuités spatiales. 1. «La pertince du maillage» c'est-à-dire son homogénéité
2. La pertinence des fonctions de dissimilarité et des attributs retenus pour décrire les différences entre les lieux 3. Les représentations cartographiques Retour Discontinuités spatiales