Éditorial

Les priorités du GIP RECLUS

Lorsque le Conseil d'Administration du GIP RECLUS, réuni le 21 juin 1994, m'a nommé Directeur du GIP RECLUS, j'ai dit ce qui déterminerait mon action. Ces principes demeurent valables aujourd'hui.

Deux priorités: la Géographie Universelle et l'Atlas de France

L'adaptation technique

Depuis la fondation du GIP les techniques et les outils ont évolué. Le GIP n'a pas pris de retard et a accompagné cette évolution. L'autonomie s'est accrue. Des adaptations sont nécessaires: il faut utiliser le CNUSC seulement pour le stockage et la gestion de gros fichiers, les traitements statistiques et cartographiques étant faits en interne, à partir d'une configuration nouvelle.

Le nécessaire recentrage des activités

L'évaluation prospective des territoires, le traitement statistique, graphique et cartographique de l'information spatialisée, les outils et méthodes préalables et indispensables à toute étude de l'organisation de l'espace et ses dynamiques sont les domaines où s'exerce, en premier lieu, la compétence du GIP. L'aide à la décision en matière de politique et d'aménagement des territoires qui nous est demandée, toujours plus importante, relève de ces domaines. La même demande vient des pays étrangers qui nous sollicitent pour des tâches de formation et de transfert de savoir-faire.

Préciser la place et le rôle de RECLUS dans la communauté scientifique

Adapter l'organisation du GIP aux objectifs prioritaires

Franck Auriac


Nouvelle directionL'Atlas du Viêt-nam

GIP RECLUS


dernière mise à jour: 22 septembre 1995