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La France privilégie logiquement sa zone d'influence traditionnelle, mais aussi, d'une façon plus inattendue, celle des autres grandes puissances (Amérique centrale, ex-URSS) et le Moyen-Orient.
Les statistiques représentées ici ont été établies à partir des déclarations transmises à l'Institut national de la propriété industrielle (INPI). Elles reflètent les flux financiers produits par les contrats d'échanges techniques conclus entre une personne physique ou morale française et une personne étrangère. Les contrats peuvent concerner des redevances de fabrication, des frais d'assistance technique, la fourniture de «matière grise». Les échanges avec les États-Unis sont de loin les plus actifs mais largement déficitaires. Avec les autres pays, ils sont nettement inférieurs et presque tous bénéficiaires.
La France importe son énergie, essentiellement du pétrole et du gaz, d'Europe du Nord, de Russie, du Moyen-Orient et d'Afrique, notamment d'Algérie et du Nigeria. L'Amérique joue un rôle mineur.
L'Union européenne, Royaume-Uni et Pays-Bas en tête, et les États-Unis retiennent toute l'attention des entreprises françaises dans leurs investissements à l'étranger. L'Asie est presque délaissée.
dernière mise à jour: 10 février 2000